Avec les recommandations alimentaires actuelles, les rayons des supermarchés seraient rapidement vides
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En ce qui concerne les changements demandés dans le système alimentaire, il est souvent fait référence aux recommandations actuelles de la Société allemande de nutrition (DGE) et de la Commission EAT-Lancet ainsi qu'au régime Planetary Health qui en découle. Ces deux recommandations alimentaires ne tiennent cependant pas compte de la réalité de la vie en raison de l'accent exagéré mis sur une alimentation végétale et comportent un risque de malnutrition. Avec les recommandations actuelles, la DGE s'est éloignée de son véritable cœur de métier en ne s'occupant pas uniquement de l'apport en nutriments et du maintien de la santé des personnes, mais en prenant également en compte les objectifs du Green Deal.
L'agriculture allemande compte parmi les régions agricoles les plus efficaces du monde, avec des normes nationales élevées. L'élevage et la production végétale se conditionnent mutuellement dans le cycle naturel des éléments nutritifs agricoles ; les engrais de ferme d'origine animale sont la base de la croissance des plantes. Les animaux d'élevage jouent en outre un rôle important dans la valorisation des ressources. Pour chaque kilogramme d'aliment végétal, la culture et la transformation de produits végétaux bruts génèrent environ 4 kilogrammes de masse végétale non comestible. Les animaux d'élevage produisent ainsi des aliments de qualité. En outre, l'élevage est essentiel pour l'exploitation des sites marginaux et l'entretien des paysages culturels. L'élevage est donc bien plus qu'une simple production de denrées alimentaires.
Une alimentation équilibrée nécessite un apport suffisant en protéines de qualité. En Allemagne, les besoins en protéines doivent être couverts par des sources de protéines végétales et animales. Ce fait ne pourra pas être modifié à l'avenir. Le consommateur peut continuer à consommer des produits d'origine animale sans mauvaise conscience, car il est impossible d'obtenir un approvisionnement en protéines par le biais d'aliments végétaux locaux. La stigmatisation de certains groupes d'aliments d'origine animale comme la viande, le lait et les produits laitiers n'est pas justifiée scientifiquement.
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