Plus de blé pour la sécurité alimentaire mondiale
Utilisation d'un potentiel génétique important pour des rendements plus élevés
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En termes de terres cultivées, le blé est l'une des variétés de céréales les plus importantes et joue un rôle significatif en tant qu'aliment de base. Il est cultivé dans plus de cent pays. Cependant, l'offre de blé est insuffisante et de nombreux pays en développement et émergents sont fortement dépendants des importations. Senthold Asseng, professeur d'agriculture numérique à la TUM, a travaillé avec des équipes de recherche internationales pour étudier des scénarios et des modèles qui pourraient permettre de sortir de la crise du blé.
La crise du blé menace la sécurité alimentaire et la paix mondiale
Les fluctuations des prix sur les marchés mondiaux et des récoltes ont un impact majeur sur la situation nutritionnelle de nombreuses personnes dans le monde. Ces goulets d'étranglement au niveau de l'approvisionnement ont des effets négatifs sur la qualité de vie de la population qui peuvent compromettre la stabilité sociale.
"La crise mondiale actuelle du blé montre à quel point le blé est important pour le monde. Dans de nombreux pays, la sécurité alimentaire est liée à la sécurité nationale, aux troubles civils, aux migrations et même aux guerres", explique le professeur Asseng, directeur du World Agricultural Systems Center - Hans Eisenmann Forum for Agricultural Sciences de la TUM à Weihenstephan. "Les rendements du blé stagnent dans de nombreuses régions du monde. Compte tenu de l'augmentation de la population mondiale, des augmentations régulières des rendements seront nécessaires au cours des prochaines décennies pour garantir les besoins alimentaires mondiaux", avertit M. Asseng.
Trouver et utiliser des ressources de sélection cachées
Le professeur Asseng travaille intensivement sur les possibilités d'augmentation des rendements du blé. En tant que scientifique, son travail ne se limite pas aux calculs et aux modèles théoriques. Sa recherche s'engage aussi directement avec la nature par le biais d'expériences sur le terrain, y compris le travail avec des variétés de blé régionales.
"Nous approchons des limites biophysiques des rendements du blé. Nous devons donc comprendre les fonctions des cultures pour augmenter encore les rendements", explique le scientifique. Il est convaincu que les ressources génétiques du blé sont considérables. Au cours de ses expériences, il a identifié les ressources génétiques inutilisées de cette plante cultivée, qui pourraient permettre d'augmenter les rendements dans le monde entier. Il parle d'un écart de rendement génétique de 51 %. L'objectif est de mobiliser ce déficit de sélection. Cela peut se faire par une sélection ciblée qui utilisera le potentiel de rendement du blé et conduira ainsi à des récoltes plus riches.
La génétique est importante, mais seule une approche interdisciplinaire permettra d'atteindre l'objectif
. Cependant, le professeur Asseng en est certain : "La génétique ne peut à elle seule résoudre les problèmes de nutrition dans le monde. Nous n'y parviendrons qu'avec une approche interdisciplinaire grâce à l'application de la génétique combinée à la science du sol et du climat ainsi qu'à la recherche sur les plantes cultivées."
L'utilisation d'instruments de sélection modernes et avancés et l'amélioration continue de la production de cultures agricoles grâce à une gestion optimisée des plantes et des sols permettront d'obtenir les augmentations nécessaires et urgentes de la récolte mondiale de blé. Cela permettra d'apporter une solution efficace pour assurer un approvisionnement alimentaire mondial adéquat à l'avenir.
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