L'empreinte des bâtonnets de poisson du WWF montre que les plantes sont de meilleurs poissons
L'impact environnemental des bâtonnets de poisson est presque quatre fois plus important que celui des alternatives végétales
Bild von congerdesign auf Pixabay
Pour l'étude du WWF, tous les processus ont été pris en compte, de l'extraction des matières premières jusqu'au commerce. Des facteurs environnementaux tels que les ressources en eau, les ressources énergétiques, l'utilisation des terres, le réchauffement climatique, les émissions atmosphériques ou les polluants de l'eau ont été pris en compte. Outre la surpêche, les principaux impacts environnementaux de la production de bâtonnets de poisson proviennent des émissions de gaz à effet de serre, qui alimentent le réchauffement de la planète. Ces émissions proviennent des activités de pêche, principalement de la combustion du diesel des bateaux de pêche. Certes, même les bâtonnets sans poisson et à base de plantes produisent des gaz à effet de serre en raison de la culture et de la transformation des plantes. Pour les produits conventionnels (non bio), la pollution de l'eau due aux engrais et à l'utilisation de pesticides a en outre un impact négatif sur le bilan écologique. Néanmoins, les bâtonnets de poisson obtiennent des résultats nettement moins bons que les alternatives végétales dans toutes les catégories et sont plusieurs fois plus nocifs pour l'environnement.
L'analyse a également pris en compte la valeur nutritive, qui ne présente pas de différence significative dans la comparaison entre les bâtonnets de poisson et les bâtonnets végétaux. En outre, étant donné que les bâtonnets de poisson sont composés de poisson maigre, ils ne constituent guère une source suffisante d'acides gras oméga-3, dont on vante pourtant les mérites pour la santé. Conclusion : "Tant pour le climat et l'environnement que pour notre santé, opter pour des produits de substitution est une alternative précieuse", conclut Axel Hein.
En 2021, l'Autriche a consommé en moyenne 8 kg de poisson et de fruits de mer par habitant. Après le saumon, le colin d'Alaska est le deuxième poisson le plus populaire dans ce pays. Au niveau mondial, c'est le deuxième poisson le plus pêché. "Nous recommandons de privilégier le poisson bio local lors de la consommation de poisson en général. En Autriche, nous avons en outre suffisamment d'autres sources de protéines. En optant pour des bâtonnets végétaux plutôt que pour des bâtonnets de poisson, nous faisons en tout cas le meilleur choix pour la planète", explique Hein. Pour tous ceux qui ne veulent toutefois pas renoncer au poisson, le guide du poisson du WWF offre une orientation.
*L'analyse porte sur des produits suisses, mais les résultats peuvent être transposés à l'Autriche, car les produits sont très similaires.
Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Allemand peut être trouvé ici.