L'année 2023 marque les 30 ans de la première reconnaissance juridique du véganisme.
Vegan Society
La reconnaissance juridique des végétaliens est ancrée dans la Déclaration universelle des droits de l'homme, à l'article 18 - le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. Ce droit a un effet juridique dans différents pays par le biais de traités internationaux sur les droits de l'homme, notamment l'article 9 de la Convention européenne des droits de l'homme, qui est applicable au Royaume-Uni.
L'article 9 a été utilisé pour la première fois pour défendre les droits des végétaliens le 10 février 1993, lorsque C.W., un prisonnier végétalien, a intenté un procès au gouvernement britannique. C.W. alléguait qu'il était contraint de travailler dans l'imprimerie de la prison, ce qui, selon lui, contrevenait à son droit à la liberté de croyance car il entrait en contact avec des colorants testés sur des animaux non humains.
En fin de compte, la Cour a décidé que le travail ne violait pas les droits de C.W.. Il est toutefois important de noter que cette affaire a mis en évidence que les convictions des végétaliens concernant le bien-être des animaux tombaient dans le champ d'application de l'article 9 et, en 2020, cette conclusion contribuerait à confirmer que le végétalisme est également protégé par la loi britannique sur l'égalité.
La reconnaissance légale du véganisme a entraîné de nombreux changements dans les pratiques et les politiques au fil des ans, ce qui a permis une plus grande inclusion des véganes dans l'éducation, l'emploi et les soins de santé.
Le service des droits de la Vegan Society fournit des informations sur l'article 9 afin de soutenir les végétaliens qui revendiquent le droit à des solutions qui ne compromettent pas leur position éthique sans craindre de répercussions négatives. Les droits de l'article 9 sont à l'origine de l'affaire Jordi Casamitjana en 2020, par exemple, qui a fait du véganisme une caractéristique protégée sur le lieu de travail, et de l'affaire Fidji Willets, qui a gagné son procès contre son université après avoir appris qu'elle devait suivre un module sur l'agriculture ou échouer à son cours de gestion des animaux.
Les succès de la reconnaissance légale du véganisme vont au-delà des individus et peuvent être observés à l'échelle nationale, notamment les initiatives visant à améliorer l'étiquetage des médicaments et l'inclusion des laits végétaux dans les programmes de crèches.
Le Dr Jeanette Rowley, défenseur des droits des végétaliens, déclare : "Il semble absurde que des personnes doivent demander la protection de la loi pour les aider à éviter de participer à l'exploitation d'animaux non humains et les protéger de la discrimination simplement parce qu'elles souhaitent pratiquer la compassion.
La protection accordée aux végétaliens en vertu de l'article 9 met en évidence le statut moral des autres animaux et leur souffrance, et met en lumière la protection d'un mode de vie compatissant. Dans un monde où les autres animaux sont eux-mêmes exclus d'un cadre de protection des droits, la protection juridique des végétaliens mérite assurément d'être célébrée."
Découvrez plus d'informations sur ce sujet important auprès de notre membre du Comité consultatif de recherche (CCR), le Dr Jeanette Rowley, qui explore l'importance des droits de l'homme pour la protection juridique des végétaliens en vertu de la loi britannique sur l'égalité.
Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Anglais peut être trouvé ici.