Quelle viande mangerons-nous à l'avenir ? Rügenwalder Mühle donne des réponses
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Le Veganuary a enregistré un bilan record pour l'année 2023 avec plus de 700.000 participants officiels. Selon les organisateurs, une alimentation exclusivement végétale n'est donc plus une tendance depuis longtemps, mais la base de la transition alimentaire en cours, qui est inévitable au vu des défis auxquels notre planète est confrontée.¹ Et pourtant, une grande partie des Allemands ne peut pas s'imaginer que la viande disparaîtra un jour complètement de leur alimentation, comme l'a révélé Rügenwalder Mühle dans une grande étude.² Mais alors, où va-t-on ? Rügenwalder Mühle s'est également penché sur cette question et sur l'avenir de notre alimentation dans son rapport "AnGERICHTet. Un rapport d'ambiance sur les tables allemandes". En outre, l'entreprise familiale cherche des réponses en collaboration avec des start-ups et des partenaires de recherche*.
Vision durable : viande hybride et cultivée
Selon l'étude menée dans AnGERICHTet, 72 pour cent des personnes interrogées ne croient pas à un monde entièrement sans viande - végétariens* et végétaliens* compris. "En tant que société, nous devons continuer à travailler pour que notre forme d'alimentation soit supportable pour tous - pour les consommateurs*, les agriculteurs* et surtout pour les animaux. Ces derniers doivent être élevés de manière à ce que nous puissions manger de la viande en toute bonne conscience", explique Patrick Bühr, directeur du département Recherche & Développement chez Rügenwalder Mühle. Dans le rapport, il jette un regard sur l'avenir de l'alimentation. "Pour moi, le flexitarisme est la forme d'alimentation la plus précieuse, car elle combine des produits animaux et végétaux", explique-t-il.
Selon Bühr, un scénario d'avenir possible pour la viande pourrait être un mélange de viande et d'un composant végétal : "Les produits hybrides sont une combinaison de viande et de protéines végétales. Le produit contient juste la quantité de viande dont les consommateurs* ont besoin pour obtenir le goût, la consistance et la mordance qu'ils attendent". La viande animale peut être remplacée par de la viande cultivée.
Cette dernière s'inscrit également comme une grande promesse dans la vision d'avenir. Pour produire de la viande cultivée, de petites quantités de cellules sont prélevées sur des animaux, puis placées dans un environnement tempéré afin de leur fournir les nutriments dont ils ont besoin pour croître et se multiplier. Ainsi, le morceau se développe en dehors du corps de l'animal et on obtient de la viande pour la production d'aliments sans qu'il soit nécessaire de tuer un animal. "Cette méthode permet au passage d'économiser massivement les ressources, par exemple en réduisant considérablement les surfaces destinées à la culture de fourrage ou à l'élevage. Celles-ci peuvent être utilisées à d'autres fins. Par exemple, pour cultiver des plantes destinées à l'alimentation humaine. De plus, nous pouvons ainsi réduire considérablement les émissions de CO2 dues à l'élevage et à la culture de plantes", explique Bühr. "C'est pourquoi, chez Rügenwalder Mühle, nous sommes ouverts à la viande cultivée et la considérons comme un complément judicieux à notre alimentation".
Le grand changement de paradigme
Pour faire avancer encore plus le sujet, Rügenwalder Mühle a conclu l'année dernière deux partenariats porteurs d'avenir : En collaboration avec la start-up suisse Food-Tech Mirai Foods, l'entreprise familiale travaille à la fabrication de produits hybrides à base de protéines végétales et de viande cultivée. Avec le projet de recherche germano-néerlandais RESPECTfarms, Rügenwalder Mühle effectue en outre des recherches sur les possibilités de production locale de viande cultivée. "Il y a tant de fondateurs* formidables qui se lancent courageusement dans la création de start-ups avec de grandes idées. Pour Rügenwalder Mühle, il est clair que l'innovation ne fonctionnera à l'avenir qu'ensemble - grâce à des partenariats et des collaborations. C'est à mon avis le très grand changement de paradigme dans le monde de la production alimentaire", déclare Bühr.
Le projet RESPECTfarms a reçu en janvier l'autorisation définitive de lancer ses études de faisabilité sur la production décentralisée de viande. L'agriculture conventionnelle a ainsi la possibilité de cultiver de la viande directement dans des fermes existantes grâce à des cellules animales. Outre Rügenwalder Mühle, l'Union européenne, des ONG et d'autres partenaires industriels ont investi dans le projet. Les premiers résultats de la production décentralisée de viande de culture devraient être disponibles dans les 18 prochains mois.³
¹ veganuary.com/fr/veganuary-2023-ziehen-rekord-bilanz/
² Sondage en ligne dans le panel YouGov du 29.07.2022 au 05.08.2022 ; échantillon : 3.007 personnes interrogées, représentatif de la population allemande âgée de 18 ans et plus par âge, sexe et région.
³ vegconomist.de/viande-cultivée-culture cellulaire-biotechnologie/respectfarms-viande-cultivée-en-Europe/
Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Allemand peut être trouvé ici.