Currywurst en 30 secondes
Des étudiants en génie mécanique de l'université de Münster automatisent la préparation de plats à emporter
FH Münster/Frederik Tebbe
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En effet, dès que la saucisse est placée dans le dispositif de coupe, elle active une cellule photoélectrique et déclenche ainsi le processus : une barquette en carton arrive par tapis roulant sous le dispositif de coupe, la saucisse coupée en petits morceaux y atterrit. À la station suivante, la sauce est ajoutée, puis la poudre de curry - et la portion peut déjà être consommée. Un passage dure environ 30 secondes. "Sur le marché de Noël, nous nous trouvions devant un stand de restauration rapide et nous nous sommes dit : "On pourrait en fait automatiser ce processus", explique Wietheger. "L'idée finale du projet est alors venue en discutant avec le professeur Eckhard Finke". Le doyen du génie mécanique Finke et les collaborateurs scientifiques Markus Lammers et Stefan Averkamp ont ensuite encadré le travail. Les études de master à la faculté prévoient un tel travail de projet - l'université doit maintenant continuer à profiter de la machine. "Les étudiants ont parfaitement réussi ce projet. Il montre à quel point les ingénieurs en mécanique sont proches de la réalité, ce que l'on apprend chez nous pendant les études et ce que l'on peut faire avec", déclare Finke. "Nous pourrions imaginer que la machine soit utilisée lors d'événements organisés pour les étudiants de première année ou lors de journées de découverte". En outre, elle pourrait également être développée dans le cadre de projets ultérieurs - après tout, tout n'est pas encore entièrement automatique. Il serait également envisageable d'intégrer un barbecue dans le processus.
"De l'idée à la réalisation, nous avons tout fait nous-mêmes", explique Ruchser. "Nous avons aussi bien choisi les pièces, nous nous sommes occupés de l'électronique et avons par exemple réfléchi au moteur pas à pas qui entraîne le tapis roulant". Le soutien a également été apporté par les imprimantes 3D du laboratoire de simulation informatique, du MakerSpace et du laboratoire de machines-outils et de techniques de fabrication du campus de Steinfurt. "En travaillant sur le projet, nous avons beaucoup appris. Il faut travailler de manière orientée vers les solutions et rassembler ce que l'on a étudié pendant les études. Cela nous a beaucoup aidés", explique Rosery. Le travail sur la machine ne leur a d'ailleurs pas coupé l'envie de manger des currywurst : "En fait, l'appétit n'a fait que croître", dit Wietheger en souriant.
Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Allemand peut être trouvé ici.